22402 Messages dans 1053 Fils de discussion- par 104 Membres - Dernier membre: osinerv

Pages: 1 ... 5 6 7 8 9 [10] 11
  Imprimer  
Auteur Fil de discussion: [liste et critique] Les livres et ouvrages sur les jeux vidéo  (Lu 31173 fois)
lassie
Master Gamers
*****

Défis : +0/-1
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1285


Membre du NO MA'AM


Voir le profil
« Répondre #180 le: 13 Juillet 2012 à 18:17:22 »

a vrai dire je l'ai toujours pas lu ce Sonic, mais au vu des critiques ca me tente moins... 

En ce moment je lis celui sur l'Amiga, qui s'avère trés sympa à lire.
Journalisée

Arthelius
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +5/-2
Hors ligne Hors ligne

Messages: 9040



Voir le profil WWW
« Répondre #181 le: 14 Juillet 2012 à 10:24:21 »

Rien à voir mais quelqu'un a un avis sur le livre sur Mario, je l'ai vu mais pas lu.
Journalisée

"J'en ai rien à s'couer, j'suis anarchiste et j'voudrais foutre en l'air cette société capitaliste !"
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #182 le: 14 Juillet 2012 à 23:08:40 »

Ouaip, moi. A l'époque j'en avais dit ça :
Citation
L'Histoire de Mario
Ce hors-série (au même titre que Des Pixels à Hollywood ou La Saga des Jeux Vidéo) au titre explicite s'intéresse donc à la génèse du célebre moustachu et s'attarde sur les dix premières années de son règne. Signé William Audureau, journaliste jivé plus ou moins connu, il aborde le golden age de Nintendo sous un autre angle, celui de sa mascotte. Audureau s'applique à casser les mythes urbains entourant la création du personnage (non, son premier nom n'est pas Jumpman, non, son premier boulot n'est pas charpentier, etc.), souvent avec condescendance, ce qui nuit un peu à la lecture. Malgré tout, l'oeuvre est riche en anecdotes et en citations, parfois trop même, à l'instar des Pixels à Hollywood.
L'ouvrage est en outre assez chichement illustré, et les quelques captures d'écran sont en noir et blanc. Or, va reconnaitre Space Fury de cette manière !
Mais le plus facheux dans ce bouquin, ce sont les très, mais alors très, nombreuses fautes d'orthographe, de frappe et autres coquilles. Une théorie s'est formée dans mon esprit : alors que le livre était en cours de relecture, sa sortie a été avancée pour surfer sur le succès de l'encyclopédie NES et de l'Histoire de Big N. volume 3 (L'Histoire de Mario est parue à peine quelques jours après). De fait, les cinquante premières pages sont vierges de toute bévue ou presque, tandis que la suite est un torchon à peine digne d'un enfant de CP. Au regard de tout cela, et en le mettant en pesée avec les anecdotes sympas, ça ne vaut pas plus de  Fâché Triste



a vrai dire je l'ai toujours pas lu ce Sonic, mais au vu des critiques ca me tente moins... 
Non mais il est pas mal dans l'absolu, c'est juste que le fan (dont je suppose que tu en es) n'y trouvera pas grand chose de neuf.

En ce moment je lis celui sur l'Amiga, qui s'avère trés sympa à lire.
Oui moi aussi. J'en ferai la critique quand je l'aurai fini (ce qui ne saurait tarder, j'ai attaqué la lettre V).
Journalisée
Arthelius
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +5/-2
Hors ligne Hors ligne

Messages: 9040



Voir le profil WWW
« Répondre #183 le: 15 Juillet 2012 à 15:46:17 »

Thanks mon ami ennemi du christ
Journalisée

"J'en ai rien à s'couer, j'suis anarchiste et j'voudrais foutre en l'air cette société capitaliste !"
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #184 le: 16 Juillet 2012 à 09:25:45 »

La Bible Amiga
Encore une bible. On a eu la PC Engine (on attend toujours le deuxième volet d'ailleurs), la NES voire la DS, et maintenant l'Amiga. Profitons-en, c'est sans doute le seul ouvrage auquel on aura droit concernant la gamme de Commodore. Une fois n'est pas coutume, j'ai moins ressenti l'effet catalogue dans ce volume que dans les précédents.
Déjà parce que j'ai pris comme règle "d'alterner mes lectures", passant sans cesse de la partie explicative au listing des jeux, mais aussi parce que ladite partie explicative est plutôt intéressante.
Outre une chronologie des faits qui nous remémore - pour ceux qui l'ont connue - la gloire puis la déchéance de la société, cette première partie s'attache également à montrer le phénomène à travers les yeux de célebres graphistes ainsi que de ceux des fameux demomakers qui ont fait la renommée de la machine. Bref, on ressent toute la nostalgie de cette époque assez unique.
La liste des jeux n'est, comme toujours, pas exempte de défauts. En vrac, citons la petitesse des captures d'écran, l'impression de survol sur certains jeux (par exemple, Blood Money n'est pas un simple clone de Mr. Heli no Daibouken puisqu'il comprend quatre gameplays distincts sur ses quatre niveaux ; de même, Savage change lui aussi de genre au fil de l'aventure, ce qui n'est pas explicité dans ces mini-reviews) ou l'illogisme de certaines notes (cinq étoiles à Body Blows qui n'est que très moyen, trois ou quatre à Beastlord ou Savage qui sont de belles daubasses, sans parler des adaptations de bornes Capcom qui sont souvent bien notées alors que le duo de choc Tiertex/U.S. Gold les avait systématiquement massacrées...).
Bref, tout n'est pas rose. Mais d'une manière globale, il s'agit sans doute de la "bible" la plus intéressante et variée du lot.

 Fâché Triste Sourire Grimaçant

Barème des notes :
 Fâché Grosse colère
 Fâché Triste Petite déception
 Fâché Triste Sourire Moyennement satisfait
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Happy face
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Tache au fond du slip
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Choqué Je peux mourir, j'ai connu le meilleur que ce monde avait à offrir
Journalisée
Shyma.X
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +6/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1611

Gentlehorse


Voir le profil
« Répondre #185 le: 16 Juillet 2012 à 10:59:42 »

La liste des jeux n'est, comme toujours, pas exempte de défauts. En vrac, citons la petitesse des captures d'écran, l'impression de survol sur certains jeux (par exemple, Blood Money n'est pas un simple clone de Mr. Heli no Daibouken puisqu'il comprend quatre gameplays distincts sur ses quatre niveaux ; de même, Savage change lui aussi de genre au fil de l'aventure, ce qui n'est pas explicité dans ces mini-reviews) ou l'illogisme de certaines notes (cinq étoiles à Body Blows qui n'est que très moyen, trois ou quatre à Beastlord ou Savage qui sont de belles daubasses, sans parler des adaptations de bornes Capcom qui sont souvent bien notées alors que le duo de choc Tiertex/U.S. Gold les avait systématiquement massacrées...).

Á noter également que certains jeux listés dans l'annexe en fin de livre sont absents du catalogue !
Quant aux notes, c'est leur présence même qui est sujet à discussion. Une note est la représentation d'un avis subjectif. Par conséquent, les avis étant toujours divergeant d'un individu à l'autre, personne ne sera jamais unanime sur une note.
Il faut prendre plus prendre ça comme un indicateur de la qualité du jeu, et encore, le problème reste le même…
Journalisée
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #186 le: 16 Juillet 2012 à 13:59:27 »

A noter également que certains jeux listés dans l'annexe en fin de livre sont absent du catalogue !
Oui, d'ailleurs je me souviens avoir joué à un excellent jeu d'aventure de Sierra, The Colonel's Bequest, qui n'est pas dans la liste (je n'ai pas checké l'annexe pour vérifier).
Journalisée
Shyma.X
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +6/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1611

Gentlehorse


Voir le profil
« Répondre #187 le: 22 Juillet 2012 à 11:08:23 »

En me baladant sur Amazon pour commander un livre qui est très vite passé en "Out of Stock" sur le site de Pix, je suis tombé sur ce bouquin :


Écrit par l'un des rédac chefs du magazine Uk EDGE (intéressant) et préfacé par Marcus (moins intéressant là…) celui-ci avait de quoi charmer, si ce n'est son prix abusé de plus de 30€.
Néanmoins, avant de mettre l'objet dans ma besace, j'ai jeté un œil à la note globale du bouquin et aux commentaires de ceux qui ont pu inspecter l'objet.
Autant dire que c'est loin d'être élogieux.

Un exemple parmi tant d'autres :
"Les 1001 et jeux vidéo auxquels il faut avoir joué dans sa vie, tel est le titre de cet ouvrage, destiné aux novices comme aux experts en la matière. Sujet toujours un peu casse gueule vu qu'il est difficile de rester impartial ou totalement objectif quand on traite un thème avec passion.

Après tout, il est d'une grande légitimité de mettre en avant les titres qui remportent une adhésion populaire comme tout à fait personnelle. Sauf que ce bouquin préfacé par Marcus et dirigé par Tony Mott rédacteur du magazine Edge) est d'une aberration proverbiale.

Vous vouliez de la qualité, de la précision ? Fuyez ce grimoire inconsistant ; fécond d'erreurs.

Je n'ai fait que le parcourir chez un ami, mais reste interloqué des grossièretés écrites vu le pedigree de l'intéressé. Déjà un problème d'organisation. On ne sait jamais si la machine choisie pour illustrer le jeu est celle sur laquelle il vu le jour. Vu que parfois on peut lire multisupport.
Alors je m'interroge. Another World a donc été initié sur Megadrive et Super Nintendo. C'est ce que l'on notera dans les machines l'ayant accueilli. Point d'Amiga ou d'Atari ST ordinateurs sur lesquels le titre d'Eric Chahi a créé sa légende.

On se dit c'est une erreur d'étourderie, parfois ça passe à l'as malgré les relectures.
Sauf que Virtua Racing n'a jamais vu le jour sur Super Nintendo. Le bouquin est truffé de ce genre d'inepties, à se demander si ce n'est pas volontaire pour faire le jeu des 1001 erreurs.

Reprenant ce principe du « On ne sait plus sur quelle machine le jeu a vu le jour », on saluera tout de même la précision de la Playstation pour Resident Evil premier du nom. Pourtant, il est bien disponible sur différentes machines, alors pourquoi ne pas mettre multisupport ? De même, devons nous nous étonner de voir une image de la version Gamecube pour illustrer l'article ?
Un laisser aller manifeste, intolérable vu les 32 euros demandés.
Pire encore le choix des jeux. Dans ces 1001 jamais vous ne verrez la trace d'un PC Kid. On préfèrera mettre au pinacle des indispensables Just A Cause, Smackdown Vs Raw 2010, UFC 2009, Resident Evil 5. Mention tout à fait spéciale à Army Of Two : The 40th Day.
On croit rêver...
Si Megaman se voit dans le livre, c'est bien dans son épisode 9. Vous savez celui sorti sur les plate-formes de téléchargement en 2008. Exit l'épisode 2 pourtant reconnu comme le plus emblématique...
Ça vous a plu ? Vous en voulez encore ? Ne bougez pas, je vais vous rassasier mes chéris. Si les textes sont traduits de la version anglaise, on se demande qui a fait le travail d'adaptation. Ce n'est pourtant pas les moyens qui manquent chez Flammarion. Un fin connaisseur en jeu vidéo, aurait-il pu laisser passer le titre « Cruise For A Corpse » dans une édition française ?
Un jeu français appelé Croisière Pour Un Cadavre, réalisé par Delphine Software sous l'oeil bienveillant d'un certain Paul Cuisset ; nouvellement Membre d'honneur de l'association MO5.
Imaginez dans un livre traduit de l'anglais sur le cinéma on trouuver « The Birdcage » pour La Cage Aux Folles d'Edouard Molinaro avec Michel Serrault et Ugo Tognazzi. Insensé...

Le livre est donc une mine d'incohérences. L'esthète s'étonnera de ne pas trouver son Final Match Tennis tant aimé sur sa PC Engine, mais bien Super Tennis sur Super Nintendo. Quand bien même la qualité de ce dernier, ce n'est pas celui-ci qu'il fallait retenir.
De la même manière, si F-Zero X et GX sont de la partie, le premier épisode se voit purement et simplement occulté. Pourtant fondateur. Celui qui ouvrira bien des portes en matière de gameplay et qui a étonné tout le monde en 1990 grâce à son effet Mode 7 inédit n'est pas obligatoire pour Tony Mott. Pierre Desproges pourrait nous souffler son « Etonnant non ? ».
Je ne vous cacherai pas que si je suis bien aise de retrouver Monkey Island 2 le premier n'a jamais existé bien entendu...) ou Loom en Point & Click, difficile de ne pas avoir la moue boudeuse en constatant que ni un épisode de Leisure Suit Larry, ni Day Of The Tentacle sont mentionnés.

A quoi bon, vu que l'on parle de Army Of Two ?

Sont-ce réellement des spécialistes qui ont collaboré à la réalisation d'un tel torchon ? Comment peut on avoir l'impudence de proposer tel ouvrage ? Que les plus vieux à qui on ne la fait pas raillent ces écrits et refusent catégoriquement l'achat est une chose. Mais que dire des plus jeunes, avides de connaissances vu que le retrogaming est devenu la mode du moment ?
Bien entendu ils vont apprendre des choses, et en ce sens l'ensemble reste riche. Mais consulteriez-vous un manuel d'Histoire avec autant d'erreurs ? On parle tout de même des 1001 jeux auxquels il faut avoir joué dans sa vie, sans quoi vous l'avez ratée.
C'est bien ce registre qui est raté. Et la caution de Marcus n'y fera rien. Il a pris son chèque, et a fait de la figuration. Marcus est-il donc un homme connaisseur et sérieux pour préfacer l'impardonnable ? René Goscinny n'aurait jamais préfacé et soutenu Marcel Gotlib si ce dernier n'avait pas eu ce talent que tout le monde reconnaît.
1001 et un jeux vidéo auxquels il faut avoir joué dans sa vie représente bien au final ce qu'est devenu ce marché en perdition. Des jeux réalisés à la va vite, des blockbusters sans saveur, une presse moribonde qui subit certes la gratuité du net mais aussi prêt d'une décennie de médiocrité.
L'acheter c'est confirmer cet état de fait. La preuve, la dernière de couverture voit les Lapins Crétins trôner. 40 ans de jeux vidéo résumé à un coup marketing dont l'enfant est de piètre qualité. Chapeaux bas. Non pas pour applaudir ; lors d'un enterrement on retire le chef pour saluer le mort."



J'ai donc finalement laissé l'objet à sa place, et je vous conseillerai de faire de même si vous avez un jour le malheur de croiser sa route.
Mais à 30 boules le bouquin, ça dissuade déjà pas mal.
Journalisée
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #188 le: 22 Juillet 2012 à 12:21:03 »

Ah effectivement ! Pourtant, EDGE c'était sympa à l'époque. Comme quoi encore une fois, c'était mieux avant.
Journalisée
lassie
Master Gamers
*****

Défis : +0/-1
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1285


Membre du NO MA'AM


Voir le profil
« Répondre #189 le: 22 Juillet 2012 à 14:15:47 »

ca fait revé...
ou pas !

Marcus a-t-il réellement une connaissance en rétro ? ou est-il juste troublion de service pour des chaine de J.V. (attention je ne le dénigre pas, je ne l'ai jamais vraiment regardé, et je ne connais pas son oeuvre.)
Journalisée

Shyma.X
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +6/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1611

Gentlehorse


Voir le profil
« Répondre #190 le: 22 Juillet 2012 à 15:08:14 »

Marcus est un gars qui a manifestement roulé sa bosse dans la presse vidéo-ludique depuis des dizaines d'années. Et cette expérience te permet d'avoir quand même une bonne grosse connaissance du sujet.

Mais le problème avec lui, c'est qui ne le montre pas vraiment.
Soit il a une bonne grosse connaissance du sujet, mais en fait totalement abstraction, soit il a des connaissances générales sur les machines et les jeux "mainstream" comme tout joueur lambda qui s'intéresse au sujet.
Il suffit de feuilleter ses articles, regarder certaines de ses émissions ou lire son "bouquin" pour se rendre compte qu'à part débiter des lieux communs et donner son avis purement subjectif, le bonhomme n'apporte pas grand chose à cet univers.

Bref, pour résumer, Marcus est typiquement le genre de gus qui se sert de ses relations et de son passif pour se construire une image et se forger une certaine notoriété, sans jamais apporter sa pierre à l'édifice, point barre…
Journalisée
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #191 le: 22 Juillet 2012 à 18:10:02 »

Je serais peut-être pas aussi extrême. Effectivement c'est un mec qui a pas mal roulé sa bosse, mais sans rentrer jamais dans le vif du sujet. Il en a d'ailleurs fait une image de marque : celle d'un serial loser devenu un peu culte grâce à l'émission Level One sur Game One. Un peu comme Crevette (si ce n'est que Crevette était doué pour les jeux de course), il a le mérite d'avoir fait découvrir beaucoup de jeux vidéo à l'époque où on ne trouvait l'info d'une sortie ou le test de la valeur véritable d'un jeu que dans la presse spécialisée.
Et une info biaisée qui plus est : si aujourd'hui les tests sur la toile, en dehors des gros sites, peuvent se permettre toutes sortes d'avis, à l'époque les pigistes étaient bridés par le marketting. Bah oui, on va pas étendre un jeu qui vient de payer les vacances du patron rien qu'avec l'encart publicitaire de deuxième de couv'...
Bref, pour en revenir à Marcus, c'est quelque chose comme un vulgarisateur, avec tout ce que cela comporte d'écueils. Il a une collection de bécanes et de jeux pharaonique mais un intéret pour l'histoire du médium et une capacité de recul des plus limités. Si tu veux faire découvrir le jivé de manière simple à ton fils, tu prends un Marcus. Si tu veux lui apprendre quelque chose, par contre, tu vas voir ailleurs.
Journalisée
Arthelius
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +5/-2
Hors ligne Hors ligne

Messages: 9040



Voir le profil WWW
« Répondre #192 le: 24 Juillet 2012 à 09:54:23 »

J'aime bien le "personnage" de Marcus dans ses émissions par contre ayant parcouru les deux ouvrages auxquels il a participé je peux dire que le bonhomme n'est pas franchement doué pour cette discipline. Il est bien meilleur dans ses "sketch". J'avais vu une interview une fois et il semble être très timide, ce qui expliquerais qu'il s'y connaisse et n'étale pas sa science, car après ça à l'air d'être un passionné (l'interview était faite chez lui).
Je pense qu'il s'est enfermé dans ce personnage, sympatoche, un peu looser et simpliste et que du coup c'est difficile de s'en démarquer.

Tiens question au passage est ce que quelqu'un regarde le 3615 Usul, qui est diffusé sur jeuxvideo.com ?
Journalisée

"J'en ai rien à s'couer, j'suis anarchiste et j'voudrais foutre en l'air cette société capitaliste !"
Shyma.X
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +6/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 1611

Gentlehorse


Voir le profil
« Répondre #193 le: 24 Juillet 2012 à 19:19:32 »

Au contraire, je déteste cette image qu'il donne de lui. Autant j'aimais bien l'émission Retro Game One dans la première saison, autant -dès la seconde- ça se gâte.
Faire le pitre ça va cinq minutes, mais après c'est gonflant. Le pire, c'est qu'il va à la surenchère à chaque nouvelle émission.
L'extravagance a cet avantage de pouvoir faire sortir du lot et de se faire remarquer, mais à en abuser, on peut vite se prendre un retour de flamme.
Á ce rythme, on finira par se souvenir plus du bouffon que du journaliste…

Je préfère largement des types comme Julien Pirou, qui ont des connaissances, les font partager, sans pour autant se donner en spectacle.


Quant à Usul, j'ai regardé une de ses émissions. Ça a l'avantage de traiter de sujets qui sont rarement -voir pas du tout- abordés. Néanmoins, le déroulement de cette émission est bien trop classique et manque de dynamisme pour qu'elle sorte du lot.
Journalisée
Arthelius
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +5/-2
Hors ligne Hors ligne

Messages: 9040



Voir le profil WWW
« Répondre #194 le: 25 Juillet 2012 à 22:18:17 »

Tu sais quoi je crois que j'ai regardé que la saison 1. C'est clair une fois que tu es enfermé dans un personnage tu es prisonnier et obligé de faire dans la surenchère. Triste au fond  Indéci

Moi j'aime bien Usul, les sujets sont sympas, les interactions entre les "personnages-acteurs" s'étoffent, ça se laisse regarder le dimanche matin sans souci. Et puis "quand c'est pas le stick qui est tout pété c'est que la faute à la manette..." comprendras qui pourra tiens !
Journalisée

"J'en ai rien à s'couer, j'suis anarchiste et j'voudrais foutre en l'air cette société capitaliste !"
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #195 le: 26 Juillet 2012 à 23:00:38 »

Pix'n Love numéro 20 - couverture : Shadow of the Beast
C'est une nouvelle fois sous une couverture d'Orioto (j'adore ce mec, cela fait un bail que j'ai pas changé mon fond d'écran, une illustration du gars concernant Ecco the Dolphin) que se présente ce nouveau numéro. Et depuis quelques temps, on peut dire que Pix, ça va mieux.
Pour faire court sur les parties qui m'intéressent le moins, disons simplement que la partie violette de fin d'ouvrage n'est encore et toujours qu'une somme de vide, et que la partie rouge du début n'intéressera que les fortunés amateurs de homebrews pas franchement révolutionnaires. L'intention est louable, mais lesdits amateurs ont déjà un magazine dédié, le bien nommé ReVival.
Pour le reste, tout est conforme à mes attentes. Bon OK, la partie arcade intéressera surtout les archéogamers puisque, en dehors de la deuxième partie du listing sur les boxeurs dans le Vs. Fighting et d'un dossier sur Daytona USA 2 qui fait suite à celui du premier opus, les dates de sortie des jeux critiqués s'échelonnent de 1979 à 1986.
La partie micros hérite donc d'un gros dossier consacré à la trilogie Shadow of the Beast, ainsi que de deux plus courts mais tout aussi intéressants sur Mike & Moko et Trantor qui plairont aux fans de l'ordi au croco.
La partie consoles enfin, jouit d'un programme des plus éclectiques : du sport avec la série des Formation Soccer, du (génialissime) beat'em up avec Guardian Heroes, du jeu de course à la F-Zero, du catch featuring Virtua Fighter et deux bonnes daubasses bien fraîches (ou pas), sans oublier un dossier sur les trois consoles Cassette Vision d'Epoch.
A noter deux bémols : les omniprésentes coquilles hélas, et deux captures d'écrans oubliées dans le dossier Formation Soccer. Mais tout de même, sur l'ensemble, ça vaut bien un :

 Fâché Triste Sourire Grimaçant

Barème des notes :
 Fâché Grosse colère
 Fâché Triste Petite déception
 Fâché Triste Sourire Moyennement satisfait
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Happy face
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Tache au fond du slip
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Choqué Je peux mourir, j'ai connu le meilleur que ce monde avait à offrir
Journalisée
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #196 le: 03 Août 2012 à 11:06:37 »

Les grands noms du jeu vidéo tome 4 : Yoshihisa Kishimoto
Ca, c'est sans doute la collection que j'aime le plus chez Pix'n Love. Après les stars que sont Michel Ancel, Takahashi Meijin ou Gunpei Yokoi, ce nouvel ouvrage s'intéresse à un nom qui parlera à moins de gens, mais qui est tout aussi important puisqu'il a ni plus ni moins que révolutionné le beat'em up. Si les sociétés dans lesquelles il a travaillé ne l'ont jamais mis en avant, Kishimoto-san est en effet l'auteur, entre autres, de deux séries majeures : Kunio Kun et Double Dragon. Rien moins que ça ! Et ce ne sont que quelques oeuvres parmi les trois cents et des brouettes auxquelles il a participé.
Bref, je ne vais pas vous gâcher la lecture, je vous laisse découvrir tout cela par vous-même. Toujours est-il que ce livre, pour lequel Florent Gorges a longuement et souvent interviewé l'ancien bozozoku (je crois que ça s'écrit comme ça), est passionnant. Etrangement, la partie qui m'a le plus intéressé est celle qui concerne l'enfance et l'adolescence de l'auteur. Il a eu une vie tellement mouvementée et un parcours tellement surprenant pour un réalisateur de jeux vidéo... Les chapitres suivants concernent son parcours chez Data East, la création de la licence Kunio Kun, le phénomène Double Dragon et, enfin, son renouveau chez de nombreuses sociétés qui se sont souvent servies de lui sans qu'il puisse profiter des retombées.
En un mot comme en cent, il s'agit encore d'une biographie passionnante.

 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant

Barème des notes :
 Fâché Grosse colère
 Fâché Triste Petite déception
 Fâché Triste Sourire Moyennement satisfait
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Happy face
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Tache au fond du slip
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Choqué Je peux mourir, j'ai connu le meilleur que ce monde avait à offrir
Journalisée
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #197 le: 14 Août 2012 à 23:22:27 »

RPG Collection tome 1 : Final Fantasy VII
Les sympathiques créateurs de Console Syndrome débutent ici une nouvelle collection consacrée aux grands noms (et, espérons, aux moins connus par la suite) du jeu de rôle. Ce premier ouvrage s'intéresse à un titre bien entendu extrêmement vendeur, encore de nos jours, et cela aurait pu paraître un poil consensuel si ce n'était un tout petit détail sur lesquels je reviendrai sous peu.
Tout d'abord d'un point de vue physique et plastique, le livre se présente de la même manière que les ouvrages sur Zelda et Metal Gear : couverture cartonnée rigide très épurée (le logo sur fond blanc, comme sur la jaquette nipponno-européenne du jeu) ornée de motifs gaufrés sur tout le pourtour, signet lui aussi d'un blanc éclatant, et toujours du texte pur et dur, sans aucune illustration. Le choix, on l'a déjà souligné, est aussi surprenant que risqué, mais une fois encore, on s'en passe très bien. Théoriquement, le bouquin est censé être accompagné de deux illustrations (d'Orioto et Papayou). Moi, j'en ai pas eu, mais au vu de ce à quoi elles ressemblaient, je ne vais pas crier au scandale.
Sur un plan plus critique maintenant, la petite équipe de CS fait une nouvelle fois, peu ou prou, du bon travail. Construit de manière identique à l'ouvrage sur Metal Gear, le titre commence par un résumé point par point de l'intrigue, avant de se poursuivre par une analyse du gameplay, un point sur les easter eggs, mauvais raccords et différentes spécificités du jeu, avant de se conclure par l'exploration des thématiques soulevées par Final Fantasy VII.
Jusque là, rien que nous n'ayons déjà trouvé, à peu de choses près, dans la myriade de magazines, hors-séries et autres guides consacrés au sujet. Là où cet ouvrage se démarque quelque peu de la concurrence, c'est d'une part par sa qualité d'écriture. Une fois encore, l'équipe de CS rendrait passionnante la lecture d'un annuaire. En dehors d'un parti pris affiché, voire revendiqué, qui confine parfois au léchage de cul en règle, la lecture est plaisante et, surtout, dénuée de coquilles, chose suffisamment rare pour être soulignée.
Et, point sans doute primordial en l'état des choses, le livre ne se consacre pas exclusivement à FFVII mais aussi aux quatre spin-off qui en constituent la compilation, ce qui le rend non seulement plus complet que la majorité de ses concurrents, mais qui en outre permet de prendre la mesure de l'intégralité de "l'oeuvre FFVII" avec un peu de recul. Sur ces annexes tant décriées, les auteurs se lachent un peu plus, même si l'ensemble reste encore assez lisse, presque promotionnel. Il s'agit donc d'un bouquin avant tout pour les fans, plus que pour les néophytes qui voudraient découvrir ces cinq entités sous un jour relativement objectif. Mais pour les premiers, il s'agit quelque part d'une bible en la matière.

 Fâché Triste Sourire Grimaçant (ajoutez ou retranchez un point selon votre degré de fan attitude)

Barème des notes :
 Fâché Grosse colère
 Fâché Triste Petite déception
 Fâché Triste Sourire Moyennement satisfait
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Happy face
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Tache au fond du slip
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Choqué Je peux mourir, j'ai connu le meilleur que ce monde avait à offrir
Journalisée
Arthelius
Administrateur
Master Gamers
*****

Défis : +5/-2
Hors ligne Hors ligne

Messages: 9040



Voir le profil WWW
« Répondre #198 le: 18 Août 2012 à 15:53:25 »

Je l'aime bien le VII mais je sais pas pourquoi on en fait autant un fromage, certes grâce à lui le grand public à connu les RPG et FF, amis bon voilà il y a d'autres épisodes tout aussi intéressant et sur lesquels ils auraient été possible de faire des spin off ou suite.
Journalisée

"J'en ai rien à s'couer, j'suis anarchiste et j'voudrais foutre en l'air cette société capitaliste !"
Antekrist
Equipe magazine
Master Gamers
*****

Défis : +8/-0
Hors ligne Hors ligne

Messages: 2180


Il est plus grand à l'intérieur


Voir le profil
« Répondre #199 le: 21 Août 2012 à 22:51:59 »

Pix'n Love numéro 21 - couverture : The Secret of Monkey Island
Malgré son numéro qui incrémente le compteur de manière régulière, ce vingt-et-unième opus n'est pas vraiment canonique. Il s'agit plus d'un hors-série, placé, pour le meilleur et pour le pire, sous la direction de Marcus. A ce titre, il commence par un article sur l'Interton VC4000, sans doute tiré (même si je ne m'en souviens plus) du bouquin de l'ami présentateur.
Mais que ses détracteurs se rassurent, le reste est du même tonneau que d'habitude. Ou pas. Car passées la sélection homebrew et la présentation de quelques Game'n watch traditionnelles, ce n'est pas la section arcade qui nous attend. En lieu et place, une relativement longue mais assez plate rétrospective des jeux basés sur les Simpson (avec ou sans "s" selon votre degré d'anglophilie).
C'est la section micro qui se taille, une fois n'est pas coutume, la part du lion. Avec deux gros dossiers consacrés à deux poids lourds (Monkey Island et Alone in the Dark) et deux longues reviews de titres non moins mythiques (Shufflepuck Cafe et les Renegade de l'Amstrad), le programme et vaste et enchanteur. Même l'encart publicitaire faisant le lien avec le bouquin sur Yoshihisa Kishimoto ne parvient pas à nous faire perdre le sourire.
La section console, enfin, écope elle aussi de quelques dossiers, plus courts, sur d'autres légendes passées ou à venir : Jet Set Radio, Nightmare Busters (j'y ai appris que l'un de ses créateurs était hélas décédé), le fameux E.T. symbole du crash de 1983 et la Colécovision, qui fête ses trente ans de carrière.
Bref, finalement bien moins de déchets que ce à quoi on aurait pu s'attendre, en dehors des désormais bien connues dernières pages de vide, la fameuse section violette sans intérêt aucun.

 Fâché Triste Sourire Grimaçant

Barème des notes :
 Fâché Grosse colère
 Fâché Triste Petite déception
 Fâché Triste Sourire Moyennement satisfait
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Happy face
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Tache au fond du slip
 Fâché Triste Sourire Grimaçant Souriant Choqué Je peux mourir, j'ai connu le meilleur que ce monde avait à offrir
Journalisée
Pages: 1 ... 5 6 7 8 9 [10] 11
  Imprimer  
 
Aller à: